Le vrai risque n’est pas l’absence d’idées,
mais leur disparition ou leur mauvaise exploitation.

Bien avant le stade du brevet, une idée peut être oubliée, reprise ou exploitée ailleurs… sans qu’on puisse en prouver l’antériorité.

Entre 2021 et 2022, nous avons mené une étude auprès d’inventeurs, d’entreprises innovantes et de départements PI. Résultat : 4 enjeux majeurs reviennent systématiquement, quelle que soit la taille ou le secteur des organisations.

Dans un contexte où l’innovation conditionne la compétitivité, la majorité des idées à fort potentiel se perdent ou sont mal exploitées. Faute d’outils adaptés, les organisations et inventeurs sont confrontées à :

Enjeu n° 1

Idées non capturées =
innovations perdues

Enjeu n° 2

Absence de preuve
solide et opposable

Enjeu n° 3

Temps, budget et énergie
gaspillés

Enjeu n° 4

Dépôts
tardifs, faibles ou inutiles

Les ENJEUX

ENJEU n°1 — Idées non capturées = innovation perdue

Chaque jour, des idées disparaissent sans laisser de trace.
Elles sont évoquées dans un couloir, notées sur un carnet ou conservées « en tête »… puis oubliées, doublées ou récupérées par d’autres.

💥 Symptômes fréquents :

  • Absence de processus clair pour déclarer une idée

  • Réunions, mails ou échanges informels sans suivi

  • Problèmes de confidentialité dans les premières discussions

  • Aucune date certaine ni auteur identifié

📌 Exemple concret :
Un ingénieur évoque une fonctionnalité innovante en réunion. Un concurrent la lance 6 mois plus tard. Impossible de prouver l’antériorité ou d’en revendiquer la paternité.

📊 Chiffre :
➡️ 90 % des idées ne sont jamais exploitées ou valorisées

ENJEU n°2 — Preuve difficile à opposer

Une idée non datée, non tracée, n’existe pas juridiquement.
En cas de litige ou de brevet concurrent, la priorité revient à celui qui peut prouver — rapidement et juridiquement — sa création.

⚠️ Problèmes récurrents :

  • Un e-mail ou un PowerPoint n’ont aucune valeur probante

  • Les fichiers peuvent être modifiés ou contestés

  • Les co-auteurs ne sont pas clairement identifiés

  • En cas de désaccord, tout est discutable

🎯 Conséquences :

  • Risque de se faire déposséder d’une invention

  • Conflits entre collaborateurs ou partenaires

  • Dossiers bloqués par la direction ou le juridique

 Un e-mail, un PDF ou un cahier labo ne sont PAS considérés comme une preuve robuste de création.

ENJEU n°3 — Temps & budget gaspillés avant dépôt

Le coût caché de la préparation avant dépôt est énorme.
Avant même d’impliquer un conseil en PI, le temps interne s’accumule et les versions se multiplient.

🔄 Problèmes typiques :

  • Allers-retours incessants entre R&D, juridique et inventeurs

  • Reformulations, oublis, compléments tardifs

  • Descriptions incomplètes ou trop floues

  • Retards dans l’évaluation du potentiel brevetable

💸 Impact direct :

  • Plusieurs semaines perdues avant validation

  • Frais supplémentaires de rédaction ou de reprise

  • Retard dans la stratégie de protection

ENJEU n°4 — Dépôts faibles, tardifs ou inutiles

Un dépôt trop tard ou mal préparé est un dépôt à risque.
Sans qualification préalable ni décision structurée, les dépôts deviennent coûteux et peu efficaces.

📉 Causes fréquentes :

  • Décision trop tardive sur la valeur d’une idée

  • Pas de filtre entre les bonnes intuitions et les fausses pistes

  • Fichiers incomplets envoyés au cabinet

  • Dépôt « défensif » mais juridiquement fragile

🚨 Résultats :

  • 1/3 des dépôts sont abandonnés avant délivrance

  • Protéger coûte plus cher que sélectionner

  • Faible retour sur investissement

Ce que change IdeaHor

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